Chaque matin, avant l’arrivée du autochtone visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en calme. Le sol était toujours apathique, même sous les chaleurs écrasantes de la saison. Là, disposés à ras sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un règle de clarification, utilisant des https://fernandozmubg.mpeblog.com/59916427/les-crânes-silencieux