L’aube se levait sur Pékin, baignant l’atelier du calligraphe d’une vie pâle. Les ombrages de la nuit s’effaçaient miette à brin, mais sur le feuille de riz, d’autres obscurités persistaient. Comme n'importe quel matin, il se dirigea poésie son bureau, le cœur serré par l’anticipation. Il savait que de futurs https://landenijcwc.onesmablog.com/le-dernier-mémoire-74515807