Le soleil s’écrasait sur les perles blanches brûlantes du désert mexicain. Le vent soulevait des nuages de poussière qui s’écrasaient mitoyen de la carcasse rouillée d’une vieille cabine téléphonique. Posée seule au terme d’une voie oubliée, elle ne figurait sur aucune carte officielle. Pourtant, tout dimanche à midi, une avertisseur https://finnjsycf.blogdiloz.com/32916635/la-cabine-du-septième-aube