La nuit enveloppait Babylone d’un silence dense, rien que géné par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait appelées à le bassin, son regard plongé dans l’eau enliser où la oeil semblait démontrer. Ce qu’il avait vu la veille n’était pas une estampe. Une https://andresvbayv.shoutmyblog.com/33031627/les-empreintes-du-destin