Callista resta de longues heures à immobiliser l’horizon, à l’affût du moindre frémissement des vagues ou d’un écho lointain qui lui apporterait une réponse. Pourtant, la mer demeurait arrêté, silencieuse de façon identique à un ciel sans étoiles. Le chant des sirènes avait refroidi, et avec lui, la seule certitude https://jolie-voyance03680.rimmablog.com/33004488/la-nouvelle-des-marées