Callista resta de longues heures à maintenir l’horizon, à l’affût du moindre frémissement un petit remous ou d’un écho lointain qui lui apporterait une réponse. Pourtant, la mer demeurait intrépide, silencieuse de façon identique à un ciel sans étoiles. Le chant des sirènes avait trépassé, et avec lui, la seule https://claytonyqzhq.smblogsites.com/33855083/l-écho-des-creux-de-la-vague